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Mercredi de carême du 2 avril 2014 à Cachan : retour sur Diaconat 2013

Mercredi de carême du 2 avril 2014 à Cachan : retour sur Diaconat 2013

Le mercredi 2 avril nous avons échangé et partagé sur Diaconat 2013, un appel adressé à tous les baptisés à servir la fraternité.

Bernard et Simone Baudry nous appellent à vivre la fraternité pour de vrai, à la partager, à oser aller vers l’avant, à surpasser sa peur, à changer de mentalité et de regard envers autrui. Ce n’est pas facile, mais c’est faisable avec amour et patience envers Dieu.

Des fragment de l’évangile nous rappellent ce mot fraternité, (le paralytique, le bon samaritain, ce que vous faites aux autres c’est à moi que vous le faites). Pour bien la réaliser, une triple tache nous attend dont l’annonce de la parole de Dieu, la célébration des sacrements et le service de la charité ou le service du frère.

La foi repose sur ces trois piliers et elle est surtout vaine sans le service au frère. Pour cela il nous faut également oser parler de soi et partager sa foi, même si cela s’avère difficile quelque fois (annonce dans les lieux de travail laïc ou même avec des gens de connaissances).

Dans nos lieux de travail, nous faisons déjà du bien à nous et aux autres si nous portons un regard affectueux, un sourire, à l’autre, si nous sommes heureux pour l’autre handicapé ou pas, si nous prions pour l’autre, si nous faisons bien seulement notre travail, si nous faisons des actions de bénévolat etc.

En parlant de bénévolat et dévouement pour les autres, Bernard et Simone ont illustré par un diaporama cette fraternité.

Des palestiniennes sont venus chez eux pour partager leur vécu de jeunesses et leur maturité face à la guerre, l’évêque est même venu les rencontrer en entendant leur passage malgré son agenda bien chargé.

Ils ont aussi pris une action, parmi tant d’autres qui les ont marqués : la contribution à la recherche de bien-être des Rom qui n’ont presque rien pour survivre car leur regard a changé.

Le pape nous donne également des pistes dans son livre, "La joie de l’évangile " où il facilite par ses mots pas toujours tendres notre avancée vers cette joie de l’évangile. Entre autre, ne pas s’enfermer dans un schéma ennuyeux de l’Église mais chercher de nouvelles voies et méthodes créatives pour que cette joie soit effective.